La collaboration entre Glázer et Reguera est née d'une passion commune pour la capture de l'essence du mouvement à travers l'objectif. Glázer, maestro de la narration visuelle, a trouvé en Reguera une muse dont chaque mouvement en disait long. L'appareil photo est devenu un pinceau et Reguera, le danseur, une toile vivante sur laquelle se déploie la poésie du mouvement.